Sites Internet, blogs, catalogues ou magazines, différents supports nous permettent de nous évader, de découvrir les pays qui nous entourent. Toutefois, un homme, grâce à une idée somme toute assez simple, nous offre une véritable ode aux voyages par ses clichés idylliques.
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Voyager et rêver le temps d’un cliché
Depuis 2011, Murad Osmann parcourt le monde avec Nataly Zakharova, devenue depuis sa femme. Le jeune couple d’origine russe se met en scène, toujours de la même manière : Murad Osmann, invisible, si ce n’est une partie de son bras, prend une photo de Nataly, dos à lui, lui tendant le bras. C’est tout naturellement qu’il a baptisé cette série #FollowMeTo, suis-moi à… Bien lui en a pris : son compte Instragram, @muradossman, est à présent suivi par quasi quatre millions de personnes !
Hong Kong, New York, San Francisco, Barcelone, Singapour, Mexico, Londres, Les Maldives, Jaipur, Bali, Venise, ils sillonnent la planète et nous offrent des clichés sublimes, retravaillés minutieusement pour obtenir une saturation de couleurs qui subjugue. Cette invitation au voyage nous fait découvrir, ou redécouvrir, des endroits fabuleux de la planète. Le non moins célèbre National Geographic a d’ailleurs consacré une couverture à l’artiste, qui a su conquérir tant les amoureux de voyages, que les photographes ou les fashionistas.
La beauté jusqu’au bout du monde
Le décor de ces photos est bien évidemment une fantastique bibliothèque de monuments ou paysages de tout horizon. Mais FollowMeTo fait de manière plus générale l’apologie du romantisme et surtout de la beauté. Nataly, au cœur d’un cadre déjà majestueux, porte des tenues somptueuses, composées la plupart du temps d’habits traditionnels du pays visité.
Fin mars, le couple mondialement connu a publié, une fois n’est coutume, une vidéo tourné en Inde pour nous faire découvrir l’envers du décor. Si le résultat est magique, le travail fournit pour un cliché est moins simple qu’il n’y paraît : Murad et Nataly sont entourés par la foule, la préparation est millimétrée, parfois semée d’embûches, mais après tout, l’imprévu n’est-il pas le piment des voyages ?
Crédit photo : turner